Mobilité réduite : l’avènement attendu des voitures autonomes
Les personnes en situation de handicap sont en quête permanente d’autonomie. En plein développement, la voiture autonome pourrait les aider dans leurs déplacements.
Une technologie qui fait ses preuves
Adossée à l’intelligence artificielle, la technologie mise au point par de nombreux constructeurs automobiles progresse. La commercialisation de véhicules « partiellement » autonomes est imminente.
Tandis qu’un seul constructeur aux États-Unis fait la course en tête avec son système de conduite entièrement autonome1, le premier modèle autonome 100 % électrique2 sera sans doute commercialisé en France à l’automne 2022. Certains constructeurs testent encore leurs prototypes sur les routes européennes.
Au service de la mobilité
Souvent isolées pour des raisons d’accessibilité aux commerces, aux transports ou aux lieux de convivialité, nombre de personnes en situation de handicap placent leurs espoirs de mobilité dans ces voitures autonomes. Encore en plein développement, la conduite autonome complète (de niveau 5) pourrait leur permettre de gagner en autonomie. Dès 2012, un Américain déficient visuel à 95 % avait pris le volant d’un prototype sur les routes du Nevada. En France, les constructeurs travaillent à l’obtention d’autorisations pour pouvoir faire rouler leurs voitures autonomes.
Soutenir la mobilité des déficients visuels
Selon les handicaps, il n’y a pas que les déplacements motorisés qui sont problématiques. Pour les aveugles ou malvoyants,
IRP AUTO propose une canne blanche électronique. Véritable innovation technologique au service de l’autonomie, ce dispositif se compose d’un boitier électronique fixé sur la canne blanche. Il détecte les obstacles à l’aide de faisceaux infrarouges et renvoie l’information à l’utilisateur sous forme de vibration.
Si vous, votre enfant ou votre conjoint êtes en situation de handicap, IRP AUTO peut vous proposer un accompagnement personnalisé et des aides adaptées.
1 Full Self Driving (FSD), en anglais.
2 Véhicule autonome de niveau 3 sur 5, qui correspond à une autonomie conditionnelle : le véhicule peut, dans des conditions propices, s’occuper de la majorité des tâches reliées à la conduite, incluant la surveillance de l’environnement immédiat.
