Anticiper votre couverture santé avant le départ en retraite
Durant votre vie professionnelle, votre mutuelle est gérée par votre employeur via un contrat collectif. À la retraite, c’est à vous de choisir les garanties qui vous conviennent.
Pour éviter toute interruption de remboursements, deux solutions s’offrent à vous :
– maintenir vos garanties actuelles grâce à la Loi Evin,
– souscrire un contrat spécifique pour les retraités.
IRP AUTO vous accompagne à chaque étape pour faire le bon choix.
Des garanties à conserver ou à adapter
Deux situations possibles :
- Vous bénéficiez d’un contrat santé d’entreprise IRP AUTO
Grâce à la loi Evin, vous pouvez conserver vos garanties, avec des tarifs plafonnés pendant 3 ans :
– la première année, le tarif reste identique1 à celui de salarié,
– les années suivantes : les tarifs sont encadrés2.
Bon à savoir : à la retraite, la part de l’employeur disparaît, ce qui peut rendre le coût plus élevé. Si vous n’avez pas le budget pour maintenir votre contrat tel quel, IRP AUTO propose des solutions sur mesure très intéressantes, adaptées à votre situation et à vos besoins.
La démarche est simple : il suffit d’en faire la demande auprès d’IRP AUTO.
- Vous n’avez pas de contrat IRP AUTO
Découvrez l’offre AUTO SANTÉ PRO Retraités, spécialement conçue pour les professionnels des services de l’automobile. En choisissant cette option, vous bénéficiez de :
– une formule flexible selon vos besoins,
– un devis gratuit et sans engagement,
– un accompagnement personnalisé par nos conseillers.
Pour une transition sereine
Anticipez votre adhésion au contrat individuel au moins deux mois avant votre départ. Cela vous garantit une continuité de remboursement sans interruption.
Pour être bien préparé, suivez le guide IRP AUTO !
1 La première année, le tarif reste le même que celui des salariés, auquel s’ajoute la part que finançait votre employeur.
2 La première année l’assureur est obligé de maintenir un tarif identique à ceux des salariés actifs, la deuxième année l’assureur peut augmenter les tarifs jusqu’à 25 %, et jusqu’à 50 % la troisième année. Au-delà, l’assureur fixe librement le montant de la cotisation.
